La nouvelle farce
de Marc Bainaud est disponible !

Blog

Hypermnésique et sagace, l’éléphant « trompe » énormément… Avec son appendice préhensile, il peut renifler, identifier, attraper sa nourriture, boire, ingérer de l’eau et se doucher, menacer et combattre, rembarrer un cornac indélicat, barrir, communiquer, saluer et caresser.
Un héros américain est mort le 28 septembre à l’âge de 88 ans.
Beaucoup de bruit pour rien. Ce titre shakespearien résume assez bien le tintamarre wokiste. À écouter le bruit et la fureur de leur agit-prop, on pourrait penser que le wokisme fédère des puristes exaspérés par des mœurs outragés. Les wokistes sont-ils les nouveaux Pilgrim Fathers ? Que nenni ! Neuf Français sur dix condamnent les agitations déviantes de minorités protestantes ou, le plus souvent, ignorent les menées d’une poignée d’activistes surmédiatisés. Ce ne sont que des orfraies.
Hommage de la BD à la littérature (textes pertinents et illustrations wonderful). Dans le tome 1, les auteurs nous invitaient à partager les secrets des écrivains américains du XIXème. Dans le tome 2 qui vient de sortir en librairie, ils nous présentent ceux du XXème. Tous nourrissent leurs œuvres de l’histoire en marche dont ils sont acteurs et témoins. Cette fresque littéraire nous offre l’envie de lire ou relire mais aussi de découvrir des auteurs ou des livres qui auraient pu nous échapper. Incontournable.
Il y a cinquante ans mourrait le Président de la République française Georges Pompidou. Avec lui s’estompait la période bénie des Trente Glorieuses. Les femmes et hommes politiques qui ont géré son héritage n’ont eu de cesse d’accompagner (ou précipiter) une lente dégringolade. Y a-t-il une fatalité à ce que les gouvernants cassent leurs jouets comme les garnements ?
Partout la voiture électrique marque le pas. Dans le même temps, l’automobile de collection n’a jamais inspiré autant d’amoureux. La première est un objet usuel, pratique, raisonnable, de moins en moins nécessaire dans un monde qui s’urbanise à vitesse grand V. La seconde incarne tout le contraire : l’amour, la passion, la nostalgie, l’art de vivre, la convivialité, la liberté. P’tet bien que nous ne sommes pas encore condamnés à la condition d’ascète.
L’automne rougeoie et déjà, de tristes vaticinateurs, nous annoncent des temps difficiles… Un apocalypse hiémal ? À moins que, Michel Barnier, dans le rôle de Zorro*, n’arrive sans se presser pour sauver la pauvre Suzy (alias la France) des griffes des affreux Jojo de gauche et de droite. Sacré Zorro !
Le Droit et la Justice visent à préserver l’harmonie de la société en appréciant la vérité. Laquelle, cette gourgandine, s’ingénie à les tromper.
Avant on disait : « il vaut mieux s’adresser à Dieu qu’à ses saints ». Maintenant les juges du curé, bouffé tout cru par la vindicte bien-pensante, proclament : « il aurait mieux valu qu’il prie Dieu que de peloter les seins des paroissiennes ».
Les calamités estivales habituelles – thermomètre en surchauffe, moustiques vampires, touristes mitrailleurs, foules fébriles, bousculades aux portillons, embouteillages oppressants… – ont laissé la place à des jeux olympiques enthousiasmants, à un feuilleton politique pathétique, à une procrastination bienvenue des défis à relever.
Non ! Ce n’est pas le nom d’un parfum baptisé par un nez infructueux mais une perspective anxiogène.
Quand je vois ce que je vois et que j’entends ce que j’entends, lors même que je sais ce que je sais, j’ai bien raison de penser… comme Alain Delon.
Méchanceté et bêtise sont gratuites. Seraient-elles payantes que ceux, qui en usent et abusent sans modération, seraient vite ruinés. N’est-ce pas Gwenola ?
Il y a dans le violon de Nemanja Radulovic et dans le piano d’Yvan Cassar toute la joie du monde et putain ! ça fait un bien fou.
Il voulait, quelle provocation, organiser son raout estival antispéciste* en Charolais, terre sacrée pour les gourmets carnivores.
C’est bien connu, dans les médias et dans les services de communication, les « nécros » des peoples sont préparées bien avant que la faucheuse ne se pointe. Le décès d’Alain Delon, pour triste qu’il soit pour tous ceux (la majorité) qui l’aimaient, n’a rien eu d’inopiné. Et malgré cela, la formation politique qui contient le mot populaire dans son identité n’a rien trouvé à dire de sympathique sur le Samouraï.
New York la ville de tous les excès, une affaire criminelle effroyable, une inspectrice de la police montée, un appaloosa à l’horizon assombrit, un suspense insoutenable… Tels sont les ingrédients d’un cocktail explosif dont on sait, au bout de quelques pages, que toutes affaires cessantes, l’on va avaler d’un trait cette histoire palpitante.
« Il n’est pas de problème qu’une absence de solution ne finisse par régler », disait Henri Queille qui présida jadis à des gouvernements. Voyons plutôt. Depuis une quinzaine, des démissionnaires gèrent les affaires courantes et tout le monde célèbre avec bonheur les dieux du stade. Une question s’impose. Et si l’absence de gouvernement était la solution à tous les problèmes de la France ?
Oyez ! Oyez ! Tous à la campagne aux couleurs de l’été indien, le 7 septembre 2024, sur une bande son Americana.
Pour le Guignolo de Lautner, Audiard a écrit et Belmondo a déclamé… « Tout le charme de l’Orient ! Moitié loukoum, moitié ciguë, l’indolence et la cruauté. En somme le coran alternatif ».
Les saboteurs sapent les fondations de la démocratie française. Nonobstant qu’elle chancelle, elle a su trouver force et talents pour présenter au monde une image, certes contrastée, mais unique et éblouissante. Pour l’heure, les JO à la française apportent au pays une réussite inespérée, salutaire, vitale. Désormais, chaque médaille sera un baume.
Cyril Hanouna est-il petit a – un martyr qui refuse d’abjurer sa foi en Saint Pognon -, petit b – un suppôt de la bête immonde qui… -, petit c – une icone populaire maltraitée par le politiquement correct -, petit d – un inoffensif saltimbanque – ?
Créé en 1996 par Philippe Lafont, le festival Équiblues traverse le temps sans coup férir. Preuve que sa formule Rodéo / Équitation Western + Country Music comble un public de plus en plus nombreux.
14 au 18 août 2024 à Saint-Agrève (Ardèche)
Rosa Bonheur et Michel Bassompierre, elle peintre lui sculpteur, ont chacun bâti une oeuvre artistique inspirée par le règne animal. Une expo réunit leurs regards croisés sur la faune.
À l’occasion du 80ème anniversaire du débarquement en Normandie, le Mémorial de Caen présente, du 8 mai 2024 au 5 janvier 2025, une exposition qui rend hommage aux combattants de la liberté.
Voilà une maxime bien impérieuse. Elle émane d’un homme qui jugeait ses semblables brouillons. Ne pourrait-on pas tout aussi bien affirmer : il n’y a pas de solution, il n’y a que des problèmes. Et si l’on confronte cette sentence à la question du réchauffement climatique force est d’admettre que l’on peine à ordonner problème et solution.
Le cheval a accompagné l’homme dans toute son Histoire. Sans lui, sans sa complicité et sa force, nous n’aurions pas connu semblable évolution. Allez découvrir tout ce que nous devons à ce merveilleux compagnon.
Les Français ont, démocratiquement, barré la route à l’éventualité de trois majorités absolues, une de droite, une du centre, une de gauche. 32% d’entre eux n’en ont pas moins exprimé une colère débridée. Le prochain gouvernement sera bien inspiré de répondre à l’exaspération sous peine d’un tsunami national-populiste annoncé.
Inoubliable dans Les Incorruptibles (1987), Danse avec les loups (1990), Un monde parfait (1993), Open Range (2003), Kevin Costner signe avec Horizon une ambitieuse saga sur la naissance des États-Unis, une fresque western sublime.
Différentes rumeurs évoquent l’identité du successeur de Daniel Craig dans le rôle de 007. Eu égard à ce que les producteurs entendent ne pas froisser les minoritaires, sanglés dans leurs pudeurs de chaisières, qui tyrannisent la majorité silencieuse, on n’est sûr que d’une chose : le casting barguigne.
Le grand rendez-vous européen du travail du bétail à cheval
François Cérésa fait partie de la famille. Celle des « bons vivants » qui, non seulement, manient la plume et la fourchette avec une identique gourmandise mais aussi, mais surtout, témoignent d’un anticonformisme impératif. Alors quand il publie Total Western (mai 2024) chez Séguier, le westernophile que je suis coure les librairies (4) avant de dénicher le livre et de lire avec bonheur la prose alerte, érudite et passionnée d’un authentique amoureux de l’Ouest. Connivence.
Une fois n’est pas coutume, tout le monde aime la comédie populaire de Bruno Podalydès. Sans doute que les Français ont besoin de rire…
Il faut bien quatre heures pour faire le tour de la question et trouver une réponse insatisfaisante.
De la confusion extrême peut naître la clarification. Distinguons les vrais démocrates…
Tout lasse, tout casse, tout passe. Ainsi va (ou ne va pas) le monde. Il est vain que les vieux déplorent les choix des jeunes. Mais il n’est pas interdit de regretter, à la fois, le temps jadis et le temps présent.
On doit honorer la mémoire de ceux qui sont morts pour la paix. On doit aussi, pour qu’ils ne soient pas morts pour rien, tout faire pour protéger les vivants de la guerre de Poutine.
Les élections se suivent et se ressemblent. Les abstentionnistes et les nationaux-populistes profitent. La démocratie se délite. La post-démocratie prospère.
Nous venons de visualiser Furiosa, le cinquième opus de la saga Mad Max de George Miller. De film en film, le réalisateur australien nous livre sa vision d’une apocalypse en marche.
Michelin à des étoiles… Chien Gentil à des nonosses.
La citadelle de Pierre-Levée a servi de camp d’internement pour des « indésirables ».
Sur les chemins, à bicyclette, avec ou sans Paulette !
Maudits touristes. L’autochtone apprécie qu’ils viennent. Et plus encore qu’ils repartent.
C’est étrange, et parfois amusant, de noter qu’une expression artistique, par essence honnête, déchaine des appétits, en apparence, malhonnêtes. Gratuité artistique et profits financiers peuvent-ils faire bon ménage.
C’est à se demander quelle est la fonction des critiqueurs dans le domaine de l’art. Le public n’est-il pas suffisamment capable de dire simplement ? J’aime. Je n’aime pas.
L’expression « Être comme chien et chat » signifie perpétuer une propension immémoriale à se chamailler. Volontiers respectueux des traditions, Chien gentil fouette les chats…
Réjouissance cathodique ou pensum politicien ? Ce soir 16 mai 2024, la télévision publique prive la majorité de son plaisir populaire et lui inflige un déballage patricien de compromis déceptifs.
Aaarrrrggggghhhhhh (cri d’effroi et de douleur) !
Oyez, oyez les Amis, écoutez une fois encore, le sublimissime Dean Martin et ses potes fredonner My rifle, my pony and me et Get along home Cindy.
Une bonne pizza est l’œuvre d’un généreux pizzaïolo. A Angers, il s’appelle Franceschini.
Ne manquez pas sur vos écrans (à partir du 1er mai 2024) un excellent western de et avec Viggo Mortensen et Vicky Krieps.
« Pressons-nous de rire de tout de peur d’être obligé d’en pleurer » (Beaumarchais).
Un hors-série consacré à Céline vous attend chez votre marchand de journaux (ou sur boutique.lefigaro.fr). Exceptionnel !
En Alsace les cyclophiles* donnent à penser que la bicyclette rend heureux et rafraichit le climat.
Comédie française d’Ivan Calbérac avec André Dussolier, Sabine Azema, Thierry Lhermitte. Sur vos écrans à partir du 24 avril 2024.
Les hommes n’ont pas vocation à être des héros ou des lâches, des va-t’en-guerre furieux ou des pacifistes béats, des patriotes ou des déserteurs… Ils n’ont pas à mourir, ni même à être importunés, par la folie des dictateurs. Il faut cesser de glorifier le sacrifice. Vivre vaut tout, mourir ne vaut rien..
Un sondage le révèle, de plus en plus d’électeurs qui ne se reconnaissent plus dans les offres politiques traditionnelles sensiblement déstabilisées par l’usure, par le macronisme, par la dérive mélenchonesque, déclarent qu’ils pourraient voter François Ruffin.
Le metteur en scène Julien Hochet-Ostini et toute sa bande sont en train de porter, au fin fond de la Mayenne, une initiative géniale de démocratisation de la culture en général, de l’art lyrique en particulier. On applaudit à tout rompre.
Des fous furieux, speedy, casqués, rembourrés, bottés, tout crottés, sur des motos survitaminées et hérissées de crampons, se jouent d’un terrain accidenté, raviné, bosselé avec une obsession : franchir la ligne d’arrivée le premier.
Quoi que l’on fasse on n’échappe pas aux ultracrépidariens (définition dans le corps du papier).
C’est triste, mais c’est beau.
Des apprenties people se sont jadis brûlées à la lumière distillée par Thierry Ardisson. A l’heure où ce dernier est décoré par le président, elles réclament réparation. Encore un peu de lumière !!!
Les éditorialistes qui, à longueur d’intervention sur les ondes, donnent des leçons de savoir penser (et voter) aux auditeurs, nourrissent ce qu’ils veulent affamer, le vote national-populiste
Bruce Springtsteen au Jazz Festival Héritage de la Nouvelle Orléans
Pourquoi est-ce que le législateur s’ingénie à toujours inventer de nouvelles taxes pour vider les goussets des automobilistes ?
L’omelette du président du Salvador a nécessité la casse de beaucoup d’œufs. Un bilan que l’on peut envier ou redouter…
21 mars, ouvrons une nouvelle page riche de promesses.
Qui veut faire rimer vieux et heureux doit, chaque jour…
Les riches votent à gauche et les pauvres à droite. En voilà un constat qu’il est bizarre… Pourquoi ?
Dans le cœur de ses fans, il est toujours vivant.
« Il y a une chose plus terrible que la calomnie, c’est la vérité » TALLEYRAND
Les leaders amérindiens demandent que soit enfin révélée la véritable nature du prétendu découvreur de l’Amérique, l’initiateur du plus grand génocide de l’histoire de l’humanité.
Les hommes ne feront pas la guerre pour avoir la paix… Ils déserteront l’amour.
L’argent n’a pas d’odeur mais la pauvreté en a une (Paul LÉAUTAUD). Pauvreté et richesse ont chacune un seuil…
Le français, langue vivante s’il en est, accompagne le temps qui passe et surfe sur ses vogues. Il est bon que des gens qui ont fait preuve d’excellence dans son maniement veillent à ce que la modernité demeure en bons termes avec la tradition.
« Je ne suis pas d’accord avec vous mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire… » VOLTAIRE
Nous connaissions la fable de l’arroseur arrosé, voici celle de l’hypnotiseur moraliste rattrapé par la rancœur de belles endormies.
Le martyr triomphe toujours de son bourreau. Et la liberté de la tyrannie. L’histoire l’a toujours démontré.
29 février 2024, le numéro 12 de la Bougie du sapeur arrive dans les kiosques.
En Russie, certains font la guerre et d’autres font la paix ou plus précisément la fête (ce qui est un bon moyen de pacifier les esprits). Mais les bellicistes s’agacent des pacifistes. Et Poutine, l’ennemi public mondial numéro 1, éprouve un malin plaisir à opposer les uns aux autres.
Marcheurs, cavaliers, cyclistes apprécient de plus en plus de s’oxygéner dans les nombreuses forêts de l’Hexagone (bien entretenus par des sylviculteurs). Dommage que des citadins imbéciles prétendent expliquer aux professionnels comment il convient de gérer les arbres.
Plus on formule de vœux moins ils sont exaucés. Est-ce à dire que trop de vœux tue les vœux ? Sans se poser cette question, le président Macron nous a adressé les siens. Sans doute que les politiciens devraient moins souhaiter et plus solutionner.
Chef Joseph fut la figure légendaire d’un épisode mythique des guerres indiennes. Une magnifique BD nous donne à penser les ravages de l’enfer au paradis. Un super cadeau de Noël.
La ministre de la culture, Rima Abdul-Malak a déclaré que Gérard Depardieu faisait « honte à la France ». Dans la foulée, on lui retire les hochets de la renommée : légion d’honneur, statue de cire du Grévin… Mais de quoi ce lynchage est-il le nom ?
Un concours de beauté, c’est bon enfant, populaire, anodin. Ça ne mange pas de pain. Sauf… Sauf pour les sodomites de diptères qui veulent priver les Français de leurs Miss France…
Paul Éluard poétisa… « Sur les marches de la mort – J’écris ton nom – Liberté ».
Montmartre fut un de ces endroits où le cœur du monde bat plus fort. A la fin du dix-neuvième, des artistes de tous les horizons se sont retrouvés là pour nourrir et se nourrir d’une humanité artistique en plein bouillonnement. Quelques cent cinquante ans plus tard, le monde entier gravit les pentes de la Butte pour humer ce qui n’est plus.
Monsieur Toulemonde est la cible d’un véritable matraquage médiatique. Matin, midi, soir les prêcheurs écologistes des journaux, radios, télévisions, réseaux sociaux montent en chaire et nous exhortent à la vertu écologique. Ce faisant ils endurent les vicieux et admonestent les vertueux. Quelle drôle de catéchisme…
Nos 30 millions d’Amis doivent-ils être sacrifiés sur l’autel de la lutte contre les GES ? Tel est le nouveau délire de l’écolocrate Jancovici. On se tamponnerait le coquillard des divagations de la pythie de l’apocalypse si le service public ne relayait pas, avec une affligeante complaisance incompréhensible, son catéchisme totalitaire.
Notre Mère, la Terre a des bouffées de chaleur. Incommodée, elle garde la chambre dans un émirat. Heureusement, des tas de diafoirus se bousculent à son chevet. Tels préconisent un remède de cheval, tels autres suggèrent une poudre de perlimpinpin, tels barguignent. Il ne faudrait pas que les remèdes soient pires que le mal. Et tous ses enfants de s’interroger… Est-ce si grave, docteurs ? Réponses à la fin de la COP de Dubaï, la vingt-huitième du nom.
Les bons n’existent qu’en regard des méchants. Tout pendant le brouillon de l’Amérique, ils furent nombreux, les outlaws, à proposer aux honnêtes gens une réplique manichéenne digne de ce nom. Tiburce Oger et Hervé Richez ont trouvé hors des sentiers battus (dans les archives étasuniennes notamment), des desperados polymorphes de premier choix.
On connaissait le jeudi noir (24 octobre 1929, date du krach boursier de Wall Street qui a ébranlé les bases du capitalisme mondial). Voici venu le vendredi noir (24 novembre 2023, date du krach consumériste qui vise à restaurer les bases du capitalisme mondialisé)…
Si l’objectif de l’humanité est de diminuer très sensiblement les émissions planétaires de gaz à effet de serre, il faudra charger avec courage non point les boites de camembert mais les autocrates qui, partout, détruisent la vie sur terre.
Halloween est un marronnier (sujet récurrent dans les médias) qui pointe le bout de son orange cucurbitacée chaque 31 octobre. Ce rendez-vous avec cette fantasmagorie américaine déchaine les cris d’orfraies de la bien-pensance. Elle ferait mieux, la bien-pensance, d’expliquer aux enfants les méfaits, non pas de la culture populaire étasunienne, mais de la vulgaire exploitation commerciale qui en est faite.
Quel est le plus grand devoir de l’homme : mourir pour sa patrie ou vivre pour l’amour des siens ? Il faudrait juste que chacun puisse décider de sa priorité sans souci de l’avis des autres.
Citius, altius, fortius*… Le salon d’Angers est devenu en quelques années le grand rendez-vous équin et équestre de l’Ouest de la France. Sa septième édition se tiendra au parc des expositions de la métropole ligérienne les 10, 11 et 12 novembre 2023.
Qui peut nier qu’il convient de changer quelques habitudes pour adapter nos us et coutumes au dérèglement climatique inhérent à la surexploitation des ressources ? Mais l’écologie doit-elle être nécessairement punitive ?
Le dernier film de Martin Scorsese tourne avec maestria une des pages les plus sombres de l’histoire américaine. Robert De Niro et Léonardo Di Caprio, au top de leur génie d’acteur, nous présente un miroir. Puissions-nous ne pas nous y reconnaitre.
Peut-on accoucher, au crépuscule de sa vie, d’un chef-d’œuvre ? La créativité de l’automne est-elle inférieure à celle du printemps ? Que perdons-nous à vieillir ? Que gagnons-nous au fil des balais engrangés ? Peut-on être et avoir été ? Et faut-il dédaigner aujourd’hui nos idoles d’hier ?
Saluons un scénariste dessinateur qui a réussi, avec brio, à ciseler une bédé bien dans son présent avec une thématique née dans un passé cher à ses ainés.
De plus en plus, l’humeur des villes et l’humeur des champs divergent. Les uns et les autres ne partagent ni les mêmes besoins, ni les mêmes aspirations. Il va falloir établir des règles afin que chacun puisse vivre où il veut comme il veut.
Toute médaille a son revers et les Historiens n’abandonnent jamais l’éternelle quête de vérité et de nuances qui permet, non de juger hier avec des yeux d’aujourd’hui, mais de comprendre d’où l’on vient pour mieux distinguer où l’on va.
Le verbe aimer ne se conjugue bien qu’au présent. Au futur, c’est hasardeux et au passé, les regrets, pour éternels qu’ils soient, n’en sont pas moins tardifs.
La bataille de Little Big Horn (1876) fut tout à la fois la grande victoire des Amérindiens et leur chant du cygne. Également fut-elle, pour les Américains, la plus humiliantes des défaites et l’achèvement d’un litige foncier vieux de déjà quatre siècles.
On n’est jamais ni totalement haïssable ni aucunement aimable. Ainsi fut jadis Madame Chirac. Derrière ce que nous adorions détester affleurait ce que nous aurions détesté adorer : une femme bien plus maline que sa caricature.
Est-ce que l’on demande aux rugbymen et à leurs fans de mettre en scène le Lac des Cygnes ou la Gay Pride ? Non. Personne ne songe à semblables incongruités. Pourquoi alors est-ce que des gens, totalement étrangers à l’univers de l’ovalie, sont venus dénigrer la cérémonie d’ouverture de la coupe du Monde ?
La France fut colonialiste. Puis néocolonialiste. Aujourd’hui, une minorité est décolonialiste. Ça va, ça vient… Et personne n’est obligé de se positionner dans une querelle anachronique. Ce que l’on peut cependant constater, c’est que le prestige et les intérêts français en Afrique ont été bien mal défendus par les politiciens de droite et de gauche qui se sont succédés aux responsabilités depuis soixante-ans.
Avec un même « matériau » – le personnage historique Jeremiah Johnson – le cinéma et la bande dessinée donnent deux visions distinctes et complémentaires.
La Ministre de la Santé abandonne ses dossiers en grande souffrance (risque de pandémie planétaire, crise des hôpitaux, réforme brouillonne et injuste des retraites…) pour tenter de conquérir un fauteuil municipal parisien moins critique (encore que…).
La patrie du bien vivre est en danger. Il convient de déclarer la mobilisation générale contre de vils mercantis qui veulent assassiner le Camembert…
Aussitôt qu’un Terrien cherche à gagner plus que de raison, il pollue et dégrade le biotope commun. Méditons la sentence du génial Jean Yanne: « Tout le monde veut sauver la planète, mais personne ne veut descendre les poubelles ».
Les fables de La Fontaine sont riches d’enseignement et structurent nos us et coutumes. Quand un renard et des poules changent de rôle, notre système de valeur perd le nord… Et si les faibles pouvaient triompher des forts ???
Oui, la révolution numérique, internet, le web ont profondément changer nos vies. En bien mais aussi en mal. L’intention originelle a été dévoyée…
Le monde est fou et coure à sa perte. Cependant, des femmes et des hommes se livrent, paisiblement, à des affrontements qui n’en sont pas moins homériques…
Le rugby français coule… Qui veut sauver ce magnifique sport doit trancher: ou une poignée gagne de l’argent ou joueurs et public gagnent des matchs…
Mercredi 20 février 2019… Je reprends ma chronique du temps qui passe bien, qui passe mal… Au programme: Karl Lagerfeld, l’antisémitisme, les Français heureux mais fauchés.
En France, c’est heureux, la table est au coeur de notre art de vivre. Plutôt que de s’écharper sur le contenu des menus dans les cantines scolaires, on ferait mieux de donner à nos enfants le goût d’une alimentation garante de plaisir et de bonne santé.
La France, comme de bien-entendu, fidèle à son Histoire, reste encore et toujours à l’avant-garde des épopées révolutionnaires. Une spécialité française qui n’est pas du goût de tous les dictateurs.
Big Brother veille au politiquement correct. Paroles ou actes racistes sont dans son collimateur. Mais il distingue ce qui est condamnable de ce qui est acceptable…
Derrière chaque loi ou réforme, on découvre une philosophie, à tout le moins une intention. Mais la gent médiatique, focalisée sur ses marottes et ses obsessions, ne prend pas toujours la peine de nous les révéler.
Avec la délicatesse de propos qui le caractérise, le Président américain a posé une question jeudi 11 janvier…
Jadis, la société était de type patriarcal. Les hommes dominaient les femmes. Elles régnaient sur la maisonnée et sur l’éducation de leur progéniture. Ils assuraient l’équilibre matériel du ménage, donnaient une image de respectabilité, s’encanaillaient au lupanar. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Comment peut-on, « en même temps », travailler vite et rouler doucement ???
Le JT de Johnny Hallyday… Du rarement vu !
« L’islamisme, voilà l’ennemi », affirme l’ancien premier ministre Manuels Valls expert en diagnostic militaire.
Je me souviens qu’un jour, un butor m’a déclaré tout de go que le monde était divisé en deux, les dominants et les dominés.
L’écrivain-voyageur de droite Sylvain Tesson a confié : « je préfère la liberté à l’égalité, l’expérience individuelle à l’expérience collective, le passé à l’avenir ». Pas mieux.
Trump pourrait être destitué ! Et alors ? Avec ou sans un clown à la Maison-Blanche, la mondialisation néolibérale poursuit son œuvre de destruction…
Monsieur Hulot, si la planète est réellement menacée, il faut substituer modération joyeuse à croissance mortifère.
Pirates… Que fait la police ? Le Monde Numérique est-il si avantageux que l’on doive s’accommoder de ses inconvénients?
Les Français se sont choisi un nouveau président de la république. Quid des promesses? Qui engagent-elles dans une perspective que l’on dit fondée sur la rupture?

Attention ! Chien Gentil

présente

la nouvelle farce de Marc Bainaud.

Le président de la république meurt d’une overdose d’aphrodisiaques.

Des milliardaires misent sur la viande de laboratoire.
Une série de méfaits divers ensanglante et meurtrit la Bretagne.

Le patron de la Sûreté Angel Marec et la capitaine Jasmine Guivarc’h comprennent que ce n’est rien moins que l’art de vivre à la française qui est menacé par la post-démocratie.

Parviendront-ils à faire la lumière sur la mort du président, à prévenir un attentat éco-terroriste terrifiant, à sauver le bonheur de vivre ?