La nouvelle farce
de Marc Bainaud est disponible !

Jeux Olympiques : démarrage réussi

juillet 2024

Les saboteurs sapent les fondations de la démocratie française. Nonobstant qu’elle chancelle, elle a su trouver force et talents pour présenter au monde une image, certes contrastée, mais unique et éblouissante. Pour l’heure, les JO à la française apportent au pays une réussite inespérée, salutaire, vitale. Désormais, chaque médaille sera un baume. 

On ne va pas se mentir… Tout le monde n’aime pas le sport. Mais le sport aime tout le monde. Il se met en quatre, en huit, en douze pour combler toutes les attentes sans exclusive de profils. Il se décline en collectif ou en individuel, en professionnel ou en amateur, au masculin comme au féminin, pour les valides ou les porteurs de handicaps, en mode champion ou en inclination dilettante, à l’adresse des riches et des pauvres sans considération pour races, sexualités, religions. Il en existe aussi avec des animaux, des moteurs ou des armes.

Amusez-vous à lister vos dix préférés. Vous découvrirez que vous aimez plus le sport que vous ne l’imaginiez. Exemple, Chien Gentil aime voir sinon pratiquer (par ordre alphabétique) : les arts martiaux, le cyclisme, l’équitation, le golf, le hockey sur glace, la marche, le rugby, les sports mécaniques, le tennis, la voile.

Le sport est par nature open. Aussi, on continue à ne pas se mentir, beaucoup de gens l’adore. Ils l’apprécient en grande tenue avec efforts de rigueur. Ou, cool, en marcel et slibard devant la petite lucarne, une bière fraîche à la main. Aimer ou ne pas aimer le sport ne devrait donc pas être un sujet de conflit. Il suffit juste que les uns et les autres s’ignorent. 

Chien Gentil pour sa part kiffe les épopées humaines forgées dans le rêve de gloire. Volonté, énergie, persévérance, dépassement génèrent des larmes… de joie. La victoire – le fameux salaire de la sueur – récompense l’effort et enfante les dieux du stade. Le sport est au cœur des aventures humaines et les accompagner procure aux supporters de magnifiques émotions.

La France accueille les Jeux Olympiques tous les cent ans : 1924, 2024… 2124 ? Se présente donc cet été une nouvelle opportunité de montrer aux Terriens la permanence du génie hexagonal. Focus sur l’Histoire et le patrimoine. Focus sur l’aptitude à orchestrer un évènement planétaire grâce à mille compétences up to date. D’ores et déjà, la France, première destination touristique mondiale, inspire mille passions comme jadis Hélène de Troie, la plus belle fille du monde. À l’exception des écolos qui entendent remiser les engins à moteur dans un gigantesque magasin pour antiquités vrombissantes et crapoteuses, tout le monde semble souhaiter que nous continuions à attirer les visiteurs. Dans cette optique, la cérémonie d’ouverture visait un but : magnifier les trésors de la France dans une sublime vitrine. Objectif atteint.

L’ancien locataire de l’Élysée, capitaine de pédalo à seize heures et scootériste nyctalope, avait été prié pour les réjouissances. La boulette. Cela n’a pas loupé ! Il a plu à vache qui pisse.

Rembobinons… Pour commencer, Djamel fait le malin. Avec sa torche, il déboule dans le 9-3. Ballepeau ! Le stade de France résonne comme une coquille vide. Il est dépité. Donc drôle. Heureusement Zinédine prend le relais. Et, pour la première fois de sa belle vie, l’idole des footeux descend dans le métro. Quatre euros dans l’escarcelle de Castex. 

Citus, altus, fortus… Le défilé fluvial s’ébranle. 85 embarcations vont acheminer les sportifs du monde entier du pont d’Austerlitz à celui d’Iéna. Il n’y aura pas d’autre référence à l’empereur. Il est vrai que, fâché avec la moitié de ses homologues européens (ça ne vous rappelle pas quelqu’un ?), son évocation eut pu réveiller une inutile réprobation. Et ce d’autant plus que nos compatriotes barguignent encore : Napoléon était-il un despote ou un génie ?

Chaque délégation agite son drapeau et 6 500 athlètes manifestent leur joie de voguer vers un éventuel triomphe médaillé. Eu égard à ce que les nations apparaissent par ordre alphabétique du nom de leur pays en français, on voit des voisinages explosifs (il s’en est fallu de peu pour que Iran et Israël soient dans une même « galère »…)

Heureusement la philanthrope Lady Gaga fait diversion avec une reprise étonnante du « Truc en plume » de Zizi. Ambiance music-hall.

Des musts éternels ponctuent la cérémonie : french cancan du Moulin Rouge (Ça c’est Paris !), Notre-Dame dans le rôle du phénix, fabuleux musée du Louvre… Entre deux débordements lacrymaux, Daphné (Madame costumes) précise, ravie de titiller les traditionnalistes, que la danse populaire célébrée par Toulouse Lautrec était « anticléricale, anti-patriarcale, antimilitariste et profondément révolutionnaire ». Pan dans les dents de son ennemi (le mâle blanc binaire).

L’homme le plus riche de Forbes a mis la main à la poche. Cela se voit. Ses produits sont dans la place. 

Tout le monde ne le sait pas mais la France recèle un groupe de death metal (déclinaison du hard rock) réputé : Gojira. Il parait qu’il cartonne aux US. Ça déménage. Marie-Antoinette décapitée sur l’air du fameux chant révolutionnaire « Ça ira » laisse la France profonde désemparée. Quelle est donc cette violence tranchante que l’on célèbre ? Mais Paris s’est esbaudi devant cette « performance » artistique sanguinolente. Somewheres et anywheres divergent et dix verges c’est beaucoup pour se faire battre.

Un peu plus tard, la controversée Aya Nakamura (chanteuse française la plus écoutée sur la planète bleue) sort de l’académie française en chantant son tube. Les électeurs de Jordan Bardella se mettent en boule. Bientôt, sur le Pont des Arts, elle exécute un pas de deux complice avec les militaires de la Garde républicaine. Les nationaux-populistes tombent en capilotade. Le président, comblé par l’ironie  de la scène, se rengorge tel un paon sûr de ses méninges. Son bon plaisir puise dans sa boîte à malice.

On apprend incidemment que le Swaziland a repris son nom précolonial : Eswatini. Dans le registre apprentissage, je découvre l’existence des Minions, des créatures américaines, dessinées et animées, réalisées par un studio de chez nous. On est balèze en animation. Encore un pôle d’excellence tricolore. Que demande le peuple ! 

Juchée sur le Grand Palais (quel édifice somptueux), une mezzo-soprano guadeloupéenne, Axelle Saint-Cirel interprète une Marseillaise chair de poule. Juré craché, elle n’y est pour rien si la pluie redouble d’intensité. Des spectateurs dégoulinants grincent : « on n’est pas étanches ». Et se cassent avec un espoir : « on verra mieux à la maison ».

Des figures émergent… La volonté de sororité (solidarité féminine) met en lumière « dix héroïnes en or », certaines passées à la postérité (Olympes de Gouge, Louise Michel ou Simone Veil), d’autres… pas encore pour tout le monde.

45 000 flics zieutent 316 000 spectateurs. Compte tenu de l’aversion que l’Occident suscite, c’est miracle que les terroristes et autres illuminés manquent l’opportunité de grabuge fabriquer. On l’échappe belle.

Pendant ce temps, tous les « amis »* de la France passent tout sourire devant les caméras. Aux JO, c’est comme sur facebook… On n’a que des « amis ». Ils sont venus, ils sont tous là, à l’exception notable de la Russie qui n’a pas eu son ticket. Et je ne parle pas de nos chers alliés. C’est fou ce que la France agace ! Mais ce soir, c’est le grand pardon. La concorde universelle. La trève olympique. La guerre n’est plus qu’une version primitive de l’opposition de tous contre tous. Le temps vient de la poursuivre par des stratégies pacifiques, néanmoins dévastatrices.

À peine remis de l’épisode mélange des genres (Nakamura et la Garde), les conservateurs doivent encaisser une parodie kitch de la Cène (un peu distincte de celle de Léonard de Vinci) avec tout l’éventail des « genres » de l’époque. Superbes drag queens, on en mangerait.

Chéri on the cake, le pacifiste excentrique Philippe Katherine apparait tout bleu tout nu, dans une corbeille fruitière. Tutti Frutti. C’est le pompon baroque. Les athées comme Chien Gentil se bidonnent. Dans les bénitiers, les grenouilles tirent la tronche. Mais savoir que Poutine, Khamenei et Musk ont été choqués console de tout. Vive Dionysos, VRP du vin et de l’ivresse.

© DR

Cette fois, c’est clair. Tout le monde a compris que les concepteurs de la cérémonie portent un message : la France est riche de sa diversité. Qui peut prétendre que l’addition d’identités hétérogènes n’enrichit pas une nation ? Personne de bonne foi. Mais ce n’est pas la diversité qui pose problème. C’est la volonté de certaines minorités braillardes d’imposer leur domination à la majorité silencieuse. Vive la diversité qui, à Rome, fait comme les Romains. Apporte sa culture, ses talents, son désir de s’assimiler, son art de vivre mais pas sa religion obscurantiste (pléonasme) incongrue en terre laïque. 

Pour le reste, les parti-pris subversifs qui promeuvent le polyamour, le trouple, les sexualités inventives, why not ? Chacun fait bien ce qu’il veut (entre adultes consentants). L’observation des conséquences (déjà bien visibles) de ces chamboulements sur la pierre angulaire de la société, la famille, laisse à craindre qu’elle n’y résiste pas. Tant pis, la nature, son horreur du vide, pallieront.

Liberté. Liberté de faire. Liberté de défaire ou de refaire. Liberté de ne pas faire. Liberté pour tous donc de ne pas empiéter sur celle des autres. Quelque chose me dit que la bonne mesure de la liberté c’est la liberté, non pas sans mesure, mais sur mesure. Tout le monde n’utilise pas la même échelle pour l’apprécier. Gageons que l’on n’a pas fini d’ergoter sur cet oxygène de vie.

On entendit ensuite une des plus belles chansons du monde, Imagine de John Lennon. Les inconditionnels du Connemara de Sardou auraient préféré qu’elle soit interprétée par Michel et son coffre généreux. Heureusement Sofiane Pamart, sur son piano enflammé a, comme dab, assuré.

Surgissant de la brume, on vit apparaitre un cheval futuriste. Alliance parfaite de l’art et de la technologie, de la sculpture et de l’ingénierie, du présent et de l’intemporel, il galopa sur la Seine, acheminant la flamme près des Tuileries où l’attendaient des gloires du sport. Cette allégorie de la complicité éternelle de l’homme et de l’animal a réjoui ceux qui savent ce que nous devons aux animaux en général, aux chevaux en particulier.

Et puis Teddy Riner et Marie-Jo Perec ont allumé le feu, olympique. Et puis Céline a fait son Édith Piaf et déclamé : « Le ciel bleu sur nous peut s’effondrer Et la Terre peut bien s’écrouler. Peu m’importe si tu m’aimes Je me fous du monde entier… » Les jeux c’est une histoire d’Amour. « Tout le reste, disait Alphonse Boudard, n’est que litres et ratures ».

En septembre 2023, la sympathique cérémonie d’ouverture de la coupe du monde de rugby avait déchainé le gauchisme au motif qu’il la trouvait représentative de la France rance, moisie, éternelle. Un an plus tard, la droite goûte peu, c’est un euphémisme, une ouverture des JO empreinte de wokisme prosélyte. N’importe les messages que l’on porte, on ne peut pas plaire à tout le monde.

En toute hypothèse, la fête signée Thomas Jolly est une réussite. Lors même que la France traverse une violente zone de turbulences avec, notamment, sa démocratie qui vacille, elle a su trouver et montrer l’aptitude de ses enfants à orchestrer un évènement planétaire exceptionnel. En outre, toutes les menaces qui pèsent sur le pays du baron de Coubertin n’ont su déborder les précautions des services de sécurité.

Si à l’inverse, nous avions inauguré cette olympiade avec un fiasco ou une catastrophe, la France aurait plongé dans une crise sans fond. Nous ne pouvons donc que nous réjouir et remercier chaleureusement les auteurs de ce succès.

* Algérie, Azerbaïdjan, Burkina Faso, Chine, Corée du nord, Éthiopie, Irak, Iran, Israël, Lybie, Mali, Monarchies du Golfe, Niger, Nigeria, Pakistan, Russie, Syrie, Tchad, Turquie, Venezuela, Yémen…

Seul un humain sur quatre vit encore en 2024 dans une véritable démocratie. Les trois autres ploient l’échine sous la coupe d’autocrates qui exercent des pouvoirs totalitaires et qui entendent détruire la démocratie. Ils y sont aidés par les menées post-démocratiques qui se développent en Occident… 

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Notre-Dame fait immanquablement penser à Victor Hugo, à Esméralda, à Quasimodo, à Viollet-le-Duc et à Anne Hidalgo (Notre Drame de Paris). On la connait également pour les sacres (Napoléon 1er…) et les obsèques des grands hommes (de Gaulle…). On la connaîtra désormais pour son incendie et sa restauration miraculeuse en présence de Macron et Trump. Lequel interprétait Esméralda, lequel jouait Quasimodo ? Vous avez deux heures…
Avec leurs ciseaux censoriaux, Marine Le Pen et Mathilde Panot ont coupé l’espoir de redressement qu’incarnait Michel Barnier et son gouvernement. Tout bien considéré, il n’est pas étonnant que des esprits totalitaires se vautrent de concert dans la censure, « l’ennemie » de Victor Hugo.
Allez voir Gladiator II, un, pour passer un bon moment ; deux, pour méditer les causes du déclin d’une civilisation. Toute ressemblance avec une réalité actuelle n’est pas à négliger.
Leçon 7 > Plus grave que grave : La civilisation occidentale démocrate est en danger.
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Leçon 5 > Si Trump et consorts pas cools… Que leur opposer ?
Leçon 4 > État : problème ou solution ? La vraie question est donc plus ou moins d’état ?
Leçon 3 > Les réseaux sociaux ringardisent les médias traditionnels.
Leçon 2 > Les démocrates d’en haut, agriffés à leurs intérêts et empêtrés dans leurs convictions, ne comprennent pas les populistes d’en bas.
Leçon 1 > Les temps changent. Disruptions. Face à l’inconnu, l’Occidental apeuré, vote pour les populistes.
Est-il étrange le moment que nous vivons ! Hormis les vicissitudes particulières qui peuvent attrister ou réjouir tout un chacun, j’observe avec étonnement, et soulagement, le gap qui se creuse chaque jour davantage entre la litanie des calamités qui dézinguent nos semblables à tour de bras (Espagne, Ukraine, Proche-Orient…) et notre miraculeuse tranquillité. À l’évidence, nos prières pour qu’elle perdure sont exaucées.

Brèves

de Chien Gentil
Traverse la rivière avant de te moquer du crocodile...
proverbe africain

> Le père Noël n’est pas une ordure

De tous temps, le décorum festif et religieux de Noël, a recueilli un rejet plus ou moins exprimé de la part de gens hostiles ou indifférents. Et de tous temps, ces personnes avaient la possibilité de ne pas participer aux réjouissances chrétiennes (ou matérialistes) hiémales. Et c’était très bien ainsi. La majorité fêtait Noël pour le plus grand bonheur des petits (et des grands) et la minorité faisait comme bon lui semblait. Majorité et minorité n’imaginaient pas (fors quelques laïcards* sans mesure, une poignée) passer du temps à en découdre sur ce non sujet.

Aujourd’hui, des gens (toujours minoritaires mais délibérément actifs et tonitruants) souhaitent fêter Noël différemment. Pourquoi pas ? Qu’ils accrochent à leur fenêtre une Mère Noël enguirlandée plutôt qu’un Père Noël ostracisé, pourquoi pas ? Qu’ils remplacent leur vrai sapin par un faux sapin, voire par une sculpture en plastique ou imprimée en 3D, pourquoi pas ? Qu’ils appellent les fêtes de Noël, les fêtes d’hiver, pourquoi pas ? Qu’ils boycottent le repas de Noël, ses farces, attrapes et cotillons au profit d’une abstinence punitive, pourquoi pas ? Mais qu’ils veuillent imposer leurs lubies minoritaires à la majorité, c’est inadmissible. La nation française, sa culture, son patrimoine, ses us et coutumes, ne peuvent accepter que des fanatiques déboulonnent la tradition avec le secret espoir d’anéantir notre joie de vivre.

* Rien à voir avec les vrais laïcs qui luttent pour l’émancipation des citoyens face à tous les obscurantismes. 

> Une histoire de CUL

La personne qui, ce vendredi 8 décembre 2023, a coché sur une grille chiffrée la combinaison suivante – 17 / 30 / 42 / 48 / 50, assortie de deux autres, 4 et 8, appelés « étoiles » – avait une chance sur 139 millions de malchances de gagner un jackpot FDJ de 240 millions d’euros.

Ce n’est pas tous les jours qu’une plume soucieuse, autant qu’il est possible dans une jungle lexicale exubérante propre à un relâchement linguistique généralisé, de châtier son langage, se voit offrir une opportunité d’employer une expression à l’étymologie obscure mais tellement imagée et triviale qu’on ne saurait la glisser n’importe où… Alors, oui, aujourd’hui on peut écrire que ce chanceux, sans doute pourvu d’une belle tête de vainqueur, a, on ne saurait mieux dire, le cul bordé de nouilles.

La probabilité d’un gain substantiel est faible. Alors pourquoi joue-t-on ? Because, dans les heures qui précèdent le tirage chaque taquineur de veine peut imaginer qu’il va bientôt pouvoir réaliser tous ces rêves. Mais alors ! L’argent ferait le bonheur ? Disons plutôt que le « cul » y contribue. 

> NAPOLEON cuisiné à l’anglaise

Ce n’est rien de dire que le réalisateur Ridley Scott a pris des libertés avec l’authenticité historique. On distingue son traitement du (mauvais) sujet Napoléon, à la manière anglaise, empreint de préjugés hostiles et d’antipathie. Il est vrai que le personnage ne pouvait pas plaire à tout le monde. Les Français peuvent retenir la dimension épique et glorieuse de son épopée. Ainsi que toutes les réformes qui, aujourd’hui encore, structurent notre société. Les Européens, légitimement rancuniers (1 à 2 millions de morts sont restés sur les champs de bataille), peuvent préférer dénoncer ses (nombreux) travers. Le film ne s’en prive pas qui réduit l’empereur à ses petitesses. Et le plonge dans une sorte de soumission à sa femme infidèle et à sa daronne cassante. Comme si l’anglo-saxon qui filme Joaquin Phoenix (je l’ai préféré en Johnny Cash ou en empereur Commode) voulait déconstruire un macho belliqueux impérialiste.

Il y a bien du ridicule à juger les gens d’hier et leurs « mauvaises manières » avec des yeux d’aujourd’hui. Entre autres sorties bien plus misogynes, il a dit : « une belle femme plait aux yeux, une bonne femme plaît au cœur ; l’une est un bijou, l’autre un trésor ». What else?

> Fini l’ESPRIT DE SACRIFICE

Ici ou là, on entend la complainte déchirante des nostalgiques de la vallée de larmes où, il n’y a pas si longtemps, une soixantaine d’années, hommes et femmes devaient souffrir pour expier on ne sait quels pêchés. Leur soumission grossissait les rangs des damnés du turbin et du casse-pipe. La modernité a eu au moins l’avantage de nous affranchir de ce pensum rédempteur : l’esprit de sacrifice est une vieillerie qui a été jetée avec l’eau saumâtre du bain de sang. Dans le même temps, les deux grandes religions qui avaient cautionné mille crimes – le catholicisme et le communisme – pareillement tombées en désuétude ont cédé la place à l’individualisme et à ses expressions : narcissisme et nombrilisme. Désormais, la grande majorité des Occidentaux entendent vivre heureux ici et maintenant, jouir sans entraves, faire l’amour pas la guerre, interdire d’interdire, refuser de perdre sa vie à la gagner… Traduction actuelle des slogans de 68, le Big Quit a conduit 38 millions d’Américains à démissionner de leur job en 2021 pour retrouver du sens et de l’intérêt à leur travail. Et davantage de pépettes of course. Chez nous, 520 000 prolétaires les ont imités au cours du premier trimestre de 2022. Dans les sondages, nos compatriotes confient qu’ils préfèrent, dans une proportion des deux tiers, un surcroit de temps libre à un supplément de revenus.

Si l’on rapproche cette nouvelle américanisation de notre habitus, de la contestation résolue et massive contre la réforme des retraites, il apparait qu’ici comme là-bas, tout le monde rêve d’obligations laborieuses nouvelles, apaisées et enrichissantes.

Ce desiderata infiniment légitime arrive dans une conjoncture préoccupante.

Le sud global se lève contre l’Occident – liberté, démocratie et raison – nos valeurs, devront peut-être, ce qu’à Dieu ou Diable ne plaisent, être défendues les armes à la main.

> BONHEUR, le retour

Qu’est-ce donc que ce bonheur qui revient, enfin, dans la parole politique ? Ni de droite, ni de gauche, ni moral ni amoral, ni réservé aux riches et aux vieux, aux hommes et aux blancs, le bonheur est affaire de tous et de chacun. Tout le monde a le droit de fabriquer son bonheur singulier avec les ingrédients dont il dispose. Jadis, la morale, cette mère fouettarde, alléguait que l’intérêt général prévalait sur l’intérêt particulier. Au nom de ce principe, les plus forts ont accaparé tous les intérêts, les généraux comme les particuliers. On ne va pas pleurer les tartufferies qui profitent aux seuls puissants.

Le bonheur, c’est d’abord l’absence de malheur pour les siens et pour soi. Et la collection d’une succession tranquille de plaisirs minuscules.

Dans cette optique, n’en déplaise aux ploutocrates et autres mercantis insatiables, l’hyperconsommation, sans laquelle à les entendre, l’économie ne tournerait pas à plein régime, ne participe pas de la félicité mais de l’asservissement (fièvre acheteuse). On ne saurait assener aux gens qu’être vaut mieux qu’avoir. Chacun fait bien ce qu’il veut. Mais on peut leur dire qu’avoir est nécessaire mais pas suffisant pour être heureux.

> MEDIACRATES : Plus ils dénigrent, plus ils confortent

Série noire…

– Une fête de village s’est conclue de manière tragique par la mort d’un adolescent. Thomas, c’était son nom, a été poignardé par un délinquant de troisième zone venu draguer les filles avec un couteau dans la poche.

– Un septuagénaire courroucé a tailladé la gorge d’un certain Mourad, jardinier de son état, dans le Val-de-Marne.

– Un touriste allemand a été tué au couteau, à Paris, par un terroriste malade mental français d’origine iranienne.

– Un supporter nantais a également été occis par arme blanche en marge d’un match de football.

Chacun de ces méfaits-divers qui, souvent, mettent aux prises anciens français et nouveaux français d’origines étrangères est récupéré par l’extrême-gauche ou l’extrême-droite pour véhiculer leurs obsessions respectives (mais pas respectueuses des victimes).

Le talkshow de Léa Salamé du samedi 2 décembre 2023 a réuni divers éditorialistes dont Natacha Polony et Franz Olivier Giesbert pour commenter, notamment, l’affaire de Crépol. On peut s’étonner que le pourcentage de Français qui s’apprêtent à porter Marine Le Pen au pouvoir n’ait pas eu un représentant dans cette assemblée de sympathiques médiacrates.

Sur tous les tréteaux, politiciens et journalistes, n’ont pas de solutions à apporter aux problèmes des français (insécurité, emploi, pouvoir d’achat, dérèglement climatique, crise de la santé, service publics dégradés, déclassement, inquiétude identitaire etc…). En revanche, ils passent des heures à débattre du spectre de l’extrême-droite. Et plus ils disent tout le mal qu’ils en pensent et quelles calamités s’abattraient sur la France au cas où elle parviendrait au pouvoir, plus les électeurs, tentés par ses promesses, sont encouragés à donner leur suffrage à Marine Le Pen. Il est vrai que comme Giorgia Meloni ou Geert Wilders, elle sera pieds et poings liés par l’Europe, condamnée à gesticuler et à en rabattre.

En définitive, sachant que la présence éventuelle à l’Élysée des champions de l’extrême-droite ne remettrait pas en cause le business, les crêpages de chignons (postures et impostures) des cénacles élitaires sont autant de miroirs aux alouettes pour enfumer le peuple et le détourner de ses aspirations essentielles : la justice sociale et la défense de l’exception française, une république laïque soucieuse de l’émancipation de ses enfants.

> Hanouna, le héraut du POPULISME

Trois millions de personnes (dont Chien Gentil) ont regardé, jeudi 30 novembre 2023, l’émission – irrévérencieuse – de France 2 sur Cyril Hanouna soit un téléspectateur sur trois présents, après 23 heures, devant les petites lucarnes.

À la vérité, on n’a pas appris grand-chose de nouveau. Hanouna cartonne. Surfer sur les cimes de l’audimat lui donne, disons, beaucoup de latitude, de privautés, de licence (pas poétique), de passe-droits, de protections. Il est mégalo, tyrannique, richissime et sans doute assez malin (dans tous les sens du terme). On est juste sidéré des pantomimes grotesques ou scandaleuses qu’il invente pour créer d’hénaurmes buzz.

Que signifie cette formidable performance télévisuelle de Complément d’enquête ? Qu’il y a chez le téléphage une frénétique curiosité empreinte de dégoût ou d’idolâtrie pour les personnages sulfureux qui signent une réussite insolente à force de culot monstre. Rien de nouveau sous le soleil. L’audience du trublion de C8 témoigne également qu’une part importante de la population préfère honorer les rendez-vous populistes que les raouts élitistes. Elle témoigne aussi de l’écœurement des perdants de la mondialisation qui rejettent les bobos donneurs de leçons, donc se réfugient chez les mystificateurs. On voit iceux, partout dans le monde, conquérir le pouvoir par la voie des suffrages extrêmes. Point n’est besoin d’appartenir au cercle éminent des observateurs patentés, à écharpe rouge ou panama camel, pour distinguer ce qui se profile derrière le succès fou du pitre cathodique. Ne manquez pas la suite au prochain numéro électoral…

> MAD MAX… Prequel

Les fans de Mad Max constituent une drôle de secte fanatique. Ils attendent avec impatience la sortie d’un nouvel opus. Chance : la première bande-annonce de Furiosa, toujours réalisé par George Miller, a été dévoilée fin novembre 2023. Attention, c’est du lourd. De l’époustouflant. Tendez l’oreille, on entend le vrombissement des moteurs. On nous indique qu’il s’agit d’un prequel de Mad Max Fury Road sorti en 2015.

Dans ce nouveau chapitre de la saga, la production a choisi, pour succéder à Charlize Theron, l’actrice Anya Taylor-Joy, récompensée d’un Golden Globe pour sa prestation dans la série «Le jeu de la dame».

Nous devrons patienter encore. La sortie, en France, est prévue pour le 22 mai 2024.

> Images et mots sont en DEUILS

Hécatombe de célébrités hors d’âge en Amérique… Le Photographe Elliot Erwitt (95 ans) a raccroché son Leica. Il n’arpentera plus le pavé humide newyorkais en quête d’un cabot expressif. Il possédait, « en même temps », un œil espiègle et un esprit caustique. Il portait sur les hommes un regard aussi amusé qu’indulgent. Tout ce qu’on aime. Parallèlement, l’incarnation de la diplomatie américaine du vingtième siècle – Henry Kissinger (100 ans) – a posé sa valise (diplomatique). On laissera aux historiens le soin de trier dans son bilan les paix et les guerres auxquelles il œuvra. 

> Vive la LANGUE  française

« J’ai longtemps attendu ce moment »… Tel fut l’incipit du discours d’Emmanuel Macron inaugurant, enfin après moult ajournements, la Cité Internationale de la Langue Française à Villers-Cotterêts, là-même où le roi François 1er a ordonné, le 25 août 1539, que le Français serait désormais la langue officielle de la France.

Une fois n’est pas coutume, nous ne mêlerons pas notre voix au concert des aristarques (critiques pointilleux et sévères) qui vilipendent l’initiative d’un président qui aurait trouvé là son grand chantier. Qu’importe ! Toute célébration de notre merveilleuse langue est bonne à prendre. Et tant que nous y sommes dans le registre d’une indulgence teintée de gratitude, nous lui sommes gré d’avoir signifié clairement, aux trois militantes et demi qui empoisonnent tout le monde avec leur écriture inclusive, que leurs revendications avaient à ses yeux la valeur de la roupie de sansonnet. Le locataire de l’Élysée estime qu’en français, le masculin donne le neutre et que truffer de points ou de tirets le milieu des mots le rendrait illisible. Il serait en effet dommage de contraindre 320 000 locuteurs de par le vaste monde à déaisser la langue de Voltaire au motif qu’elle serait ésotérique ou absconse. 

> HUMOUR gauche

L’humoriste Guillaume Meurice, connu pour faire des leçons de morale à tous ceux qui ne partagent pas ses gauches anathèmes sur France Inter, se retrouve à son tour dans la ligne de mire du politiquement correct pour un dérapage verbal. Il a qualifié le président israélien de « sorte de nazi sans prépuce ». La patronne du service public, Adèle Van Reeth, très soucieuse de ne jamais faire une vague (ou une vanne) plus haute que l’autre, lui a immédiatement tapé sur les doigts pour « antisémitisme ». Il est vrai que, à l’heure des réseaux sociaux, donc à l’heure ou chaque clampin armé d’un smartphone peut instantanément, à l’image des Romains dans l’arène, demander la vie ou la mort (like or unlike) des malheureux qui se retrouvent face aux jugements de vox populi, de nombreux auditeurs avaient spontanément indiqué leur courroux postural. Il semble donc que le satiriste belge subventionné ait abusé de la liberté d’expression qui, pourtant, lui était garantie par principe. Guillaume Meurice avait donc le droit, chronique après chronique, de brocarder, faisons simple, tous ceux qu’il prend pour des « beaufs », mais pas de traiter, une fois, de nazi, un personnage fort peu… humaniste.

Diantre ! Voilà que l’on se retrouve à défendre un individu dont nous n’apprécions pas la vis comica. Si nous le faisons, c’est que cette affaire illustre une fois de plus que le rire, en France, en 2023, est sous surveillance et ça, ce n’est pas drôle. 

> Crêpage de CHIGNONS

La chef du parti écologiste, une Heninoise végétarienne nommée Marine Tondelier, s’est fait traiter de karen par une députée insoumise qui souffre de confusionnisme aigu, incapable qu’elle est de distinguer les méchants terroristes des bons résistants. Connaissez-vous Karen ? Si tel est le cas, vous appartenez au cénacle confidentiel des wokistes, vous savez ces excités ultra minoritaires qui entendent pourrir le quotidien de la majorité silencieuse. En effet, en langage woke, Karen est l’archétype de la mère de famille mure. Cette ménagère, que dis-je, cette mégère, mal embouchée, prend ses contemporains de haut, critique leurs faits et gestes, morigène à tout va. Naturellement, elle est Wasp (White Anglo Saxon Protestant) soit blanche, riche et, cela va sans dire pour les démolisseurs d’art de vivre à la française, trumpiste. Ainsi donc, dans l’esprit étriqué des gauchistes radicalisés, c’est une vulgaire bourgeoise raciste et fasciste. Si vous voyez une karen, et si vous êtes attachés à la biodiversité, recueillez-là, c’est une espèce domestique menacée.

🙁👎

> Les ROBOTS sont là

Bien avant que l’intelligence artificielle (IA) ne déboule dans nos vie avec, nous dit-on, des avantages (dans le domaine de la santé notamment) et des inconvénients, le célèbre auteur russo-américain d’anticipation, Isaac Asimov, avait envisagé, dès les années soixante, la prise du pouvoir par des robots plus futés que leurs créateurs. Nous y sommes. Il ne nous reste plus qu’à prier ChatGPT (encore un peu niais) de nous décrire la dictature qu’ils fomentent. Saurons-nous alors maîtriser (ou supprimer) cette créature funeste, l’IA, qui se propose, entre autres abominations, de mettre les gens de plume au rebut ?

🙁👎

> TRUMP et la géographie

De l’art et de la manière de se prendre les pieds dans le tapis de son inculture… Dans un meeting de campagne pour les primaires républicaines dans le New Hampshire, l’inénarrable Donald a décrit le Hongrois Viktor Orban comme le « grand leader de la Turquie ». Confondre un Hongrois illibéral avec un Turc autocrate, c’est un peu comme mélanger, dans un insipide cocktail électoral, les intérêts des riches et des pauvres. N’importe, ses fans ne demandent pas à leur héros de savoir des choses qu’ils ignorent mais de taper sur tout ce qu’ils détestent.

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> WELCOME home

Enfin libre ! Mortaza Behboudi, le journaliste franco-afghan vient de sortir (20 octobre) des geôles talibanes où il était scandaleusement retenu depuis quelques dix mois en raison d’une calomnieuse et absurde accusation d’espionnage. Cette déplorable histoire démontre à l’envi le peu de considération que les états portent à un individu dès lors qu’il peut servir de monnaie d’échange, de moyen de pression, de symbole.

😀👍

> La TENTATION du pire

Qu’est-ce donc que l’inflation ? Une augmentation générale et durable des prix des biens et des services. En Argentine, en septembre 2023, les prix ont bondi de 12%. Et en un an, l’inflation, au pays des champions du monde de foot, a bondi de 138%. Les Argentins, perclus de déclassement et de surendettement, on les comprend, sont très mécontents. Partant, ils inclinent à voter pour Javier Milei, un populiste, ultralibéral, climatosceptique, trumpiste fanatique. On est toujours étonnés qu’un malade vote pour le virus qui le ronge plutôt que pour le médecin qui se propose de le guérir. Il parait que la France, malade, pourrait, en 2027, suivre cette étrange confusion des remèdes.

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> Le dessus du BASKET

Un Français, Victor Wembanyama, qui mesure sous la toise deux mètres et vingt-et-un centimètres, vient de rejoindre les Spurs de San Antonio (Texas) fameux basketteurs s’il en est. Il devrait, comme d’autres avant lui, moissonner la gloire sur les parquets de la NBA. Un excellent entraînement pour ensuite briller sous les paniers olympiques de Paris en 2024…

😀👍

> Bravo le QUINZE de France

Pourquoi est-ce que l’équipe de France de rugby a perdu en quart de finale de la coupe du monde face aux Springboks ? La vision du match et le score attestent que les joueurs n’ont pas failli. Sans doute que les adversaires (leur opportunisme), la pression du favori jouant à domicile, la chance (en l’occurrence la malchance) sans oublier un arbitrage discutable ont fait pencher la glorieuse incertitude du sport en faveur des Sud-Africains. Il reste aux fans de rugby français à encaisser la frustration d’autant plus amère qu’ils avaient foi dans ce groupe et qu’ils espéraient un premier sacre mondial. The show must go on…

😀👍

> Ils sapent la DEMOCRATIE

La coalition électorale NUPES – le parti wokiste – se fracasse sur le mur d’une alternative cruciale : défendre becs et ongles une société fondée sur l’universalisme républicain laïc hérité des Lumières ou céder devant les coups de boutoir terroristes et mortifères des tenants hétéroclites de totalitarismes liberticides et obscurantistes (islamisme, wokisme, poutinisme, xiisme…). La faiblesse structurelle des démocraties nourrit la force de ces fâcheux.

🙁👎

> « Mal nommer les choses c’est ajouter au MALHEUR DU MONDE » Camus

Précision nécessaire : un résistant (à une oppression) est un héros ; un terroriste qui tue des innocents est un monstre à neutraliser toutes affaires cessantes. Ceux qui peinent à distinguer les bons et les méchants font montre d’un défaut de vision (où d’arrière-pensées idéologiques) coupable et indécent.

> COOL Raoul

L’insouciance est désormais perçue comme une attitude incivique. À entendre les gardiens de la morale, il n’y a plus de place que pour le sérieux, le premier degré, la componction. Refusons que cette chape de sinistrose n’étouffe notre joie de vivre. Vive l’ironie !

> Deux conceptions de la LIBERTÉ

Depuis 1987, chaque année du premier jeudi d’août au dimanche suivant, se déroule au long cours de la route 127 qui traverse six États (Michigan, Ohio, Kentucky, Tennessee, Géorgie et Alabama) un vide-grenier de 1000 kms : 127 Yard Sale.
« En France la plus petite brocante est encadrée par des règlements, des taxes, des agents municipaux, des secouristes de la Croix-Rouge, des uniformes de gendarmerie. Aux USA, la plus grande brocante ne subit aucun contrôle. Chacun vient, comme bon lui semble, dresser son stand et proposer une kalachnikov entre deux peluches ».

😀👍

> Non POUVOIR d’achat

La rumeur, désagréable, grandit… Celle d’une augmentation générale des taxes foncières (7% de plus en moyenne, 59% pour les propriétaires parisiens). Encore un racket macronien qui ne laisse pas de rogner le pouvoir d’achat des Français.

🙁👎

> Il n’y a plus d’après

Le locataire de l’Élysée aimerait jouer les prolongations. Il a déclaré que « la limitation des mandats présidentiels » était « une funeste connerie« . Mais c’est qu’il se verrait nous les briser jusqu’à la fin des temps le « foutriquet ». Rappelons que selon Bob, funeste signifie « qui porte en soi le malheur et la désolation » !!! Autrement dit, pour Macron, c’est moi ou le chaos. Gageons qu’à l’heure du choix, les Français voteront pour le chaos. Et si un parti « extrêmiste » prend le pouvoir par les urnes, c’est à messieurs Macron, Hollande et Sarkozy (ces excellents candidats et déplorables présidents) que nous le devrons.

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> Il a fait un RÊVE

Le 28 août 1963 (il y a 60 ans), le pasteur baptiste Martin Luther King déclamait devant 250 000 manifestants réunis à Washington son célèbre discours anaphorique I have a dream. Sans doute un des plus beaux cri du cœur jamais écrit. C’était, affirment ses thuriféraires, « le point de départ du mouvement des droits civiques qui a abouti à la fin de la ségrégation entre noirs et blancs ».

😀👍

fitzy

Attention ! Chien Gentil

présente

la nouvelle farce de Marc Bainaud.

Le président de la république meurt d’une overdose d’aphrodisiaques.

Des milliardaires misent sur la viande de laboratoire.
Une série de méfaits divers ensanglante et meurtrit la Bretagne.

Le patron de la Sûreté Angel Marec et la capitaine Jasmine Guivarc’h comprennent que ce n’est rien moins que l’art de vivre à la française qui est menacé par la post-démocratie.

Parviendront-ils à faire la lumière sur la mort du président, à prévenir un attentat éco-terroriste terrifiant, à sauver le bonheur de vivre ?